Résumé du livre La Chine a mauvaise presse. Cet immense pays du bout du monde, « surpeuplé », « pollué », « grouillant », « l’usine du monde » fait peur depuis la fin du xixe siècle et la dernière pandémie mondiale n’a rien arrangé à tout cela. Quel dommage pour l’ancien Empire Céleste, berceau de si nombreuses dynasties et cultures régionales différentes. Lire la suite “Quelque chose de Chine”
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La médecine traditionnelle en Asie
Avant de devenir la médecine que nous connaissons de nos jours, celle-ci a connu de nombreuses évolutions, que ce soit dans le domaine scientifique ou dans les techniques. En Occident ou en Orient, celle-ci a connu un changement permanent, mais un point commun est tout de même présent : l’utilisation de plantes ou encore d’élémentsLire la suite “La médecine traditionnelle en Asie”
Hong Kong Noir
Hong Kong, 2013. L’inspecteur Kwan Chun-dok, dit “le Divin Détective”, est mourant. Des années durant, il a traqué les criminels sans relâche, au gré des bouleversements qui ont secoué la colonie. Aujourd’hui, son partenaire vient lui demander une dernière fois son aide pour une enquête particulièrement délicate. Une enquête qui le ramène des années en arrière, en 1967, à l’époque où il cherchait à mettre un des plus dangereux membres des triades sous les verrous…
Yi
Début 2020, Wuhan, port géant au centre de la Chine, a perdu son anonymat. Ici, Yi nous révèle le passé de la ville : les bouis-bouis, la chaleur humide, la colline de la Tortue, sa poésie. Elle partage sans réserve sa recherche d’identité à travers deux sociétés et deux rives : le Yangtsé et la Seine.
Il était une fois l’inspecteur Chen
De son enfance en pleine Révolution culturelle, Chen Cao garde en mémoire les dénonciations et les quolibets dont son père a été l’une des victimes humiliées. Quelques années plus tard, jeune policier, Chen se charge d’une affaire aux relents de corruption : l’assassinat d’un commerçant spolié puis réhabilité.
Les fantômes se lèvent toujours à l’Est
Imaginez que je supprime votre nom, puis votre prénom, de manière à vous soulager un peu de ce qui compose votre identité. Imaginez encore, si vous poursuivez cette lecture, que pour affiner cette déshumanisation je vous désigne par un numéro, disons le 338, et que je vous inocule par injection sous-cutanée une maladie amusante – une peste, le typhus, le tsutsugamushi – ou bien un poison quelconque comme la toxine de fugu.
Un endroit discret
Tsuneo Asai est en mission à Kôbe pour le compte du ministère de l’Agriculture lorsqu’il reçoit un coup de téléphone : son épouse est morte quelques heures plus tôt. Elle a succombé à une crise cardiaque tandis qu’elle se trouvait dans un magasin. Sous le choc, il décide de rentrer à Tôkyô par le premier train. Eiko avait le coeur fragile, il le savait, et la nouvelle de son décès ne l’a surpris qu’à demi. Les circonstances de sa mort, en revanche, ne laissent pas de l’étonner.
Un moment à Pékin – Enfances chinoises
Nous sommes en 1900 : chassé par les troubles de la révolte des Boxers, M. Yao, riche commerçant, épris de taoïsme et de libre pensée, quitte Pékin avec femme, enfants et serviteurs. Au cours du voyage, Moulane, sa deuxième fille âgée de dix ans, disparaît, enlevée par des voleurs d’enfants. Ainsi débute l’histoire de la famille Yao, liée à celle de M. Tseng, un confucianiste à l’ancienne mode.
La joueuse de cithare
En l’an 414 de la dynastie Xin, le chaos règne dans un royaume divisé. Au nord, une impératrice fantoche qui n’est encore qu’une enfant, manipulée par une régente sans pitié du nom de Miasma. Au sud, une jeune reine prête à tout pour venger la mort de sa sœur aînée. Au milieu, Xin Ren, seigneuresse sans terre pourtant aimée de tout un peuple – la plus idéaliste, la seule qui reste vraiment loyale à l’empire. Mais, dans un conflit impitoyable où tous les coups sont permis, la droiture de la jeune cheffe de guerre risque bien de coûter la vie à tous ses partisans.
Un paradis
A Shanghai, une jeune femme simple d’esprit décrit de l’intérieur la vie de femmes enfermées dans une clinique pour mères porteuses illicite qui tient autant du camp militaire que de la maison close. Face à la violence des hommes, elle montre la solidarité entre les prisonnières, désignées par des numéros mais qui s’attribuent entre elles des noms de fruits.