Cihui Mazu Temple, un temple à l’emplacement surprenant

Ma visite au Cihui Mazu Temple (ou Banqiao Cihui Temple) n’était pas du tout prévue. Alors que je me rendais à la résidence de la famille Lin, célèbre lieu touristique de la ville, je suis passée devant un temple, encastré dans un bloc d’immeubles tout à fait lambdas. J’ai néanmoins passé mon chemin, souhaitant directementLire la suite “Cihui Mazu Temple, un temple à l’emplacement surprenant”

Yingge, capitale taïwanaise de la céramique

Yingge, situé au sud de Taipei, est réputé pour son artisanat de la céramique : ateliers et boutiques foisonnent dans la vieille ville et aux alentours. Depuis 1999, la ville accueille le musée de la céramique, un incontournable pour les passionnés d’artisanat.

From Bali to Tamsui, un après-midi entre deux districts

Les districts de Bali et Tamsui sont séparés par le fleuve Tamsui, qui se jette un peu plus loin au nord-ouest dans le détroit de Taïwan. A certains endroits du fleuve, il est possible de rejoindre l’autre rive en une dizaine de minutes à l’aide de ferrys : c’est notamment le cas entre Bali Riverside Left Bank et Tamsui Old Street que nous vous faisons visiter dans cet article !

Happy new year 兔 you

Si l’utilisation du calendrier grégorien s’est largement répandue à travers le monde et constitue, il est loin d’être le seul en vigueur. En Asie notamment, il partage sa place, non seulement avec le calendrier traditionnel luni-solaire, mais également avec des calendriers spécifiques à certains pays. On peut notamment citer l’exemple du calendrier juche en CoréeLire la suite “Happy new year 兔 you”

Treasure Hill, ou comment un campement illégal devient un musée d’art

De par son statut de sanctuaire écologique, site historique et musée d’art, Treasure Hill est aujourd’hui une destination populaire, tant pour les locaux que pour les touristes. Mais il n’en a pas toujours été ainsi…

Les Yeux de l’océan (Mata nu Wawa)

Une frontière inconnue, emplie de la mémoire des vagues, où souffle le vent d’humilité et de droiture des premiers temps, voilà ce que nous révèle ce livre émouvant sur la relation d’amour intime que les Tao entretiennent avec le monde marin. Syaman Rapongan y excelle à dégager le caractère intrinsèque de ces enfants de la petite île des Orchidées, au sud-est de la grande île de Taiwan. Les Yeux de l’océan est aussi le récit de l’expérience douloureuse de l’exil et des discriminations multiples qui forgent une conscience politique, celle du combat universel des autochtones pour faire reconnaître leur dignité. « L’océan est mon église, il est aussi ma salle de classe et l’inspirateur de mes écrits. Quant aux êtres qui le peuplent, ils resteront à jamais mes mentors. »